1. |
...Ed insieme bussarono
11:08
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I frutti giacevano a terra disseccati ; i fiori e le verdi foglie avevano lo stesso colore di morte.
Neppure il seme trovava la forza di germogliare.
L’addolorata in me non conobbe riposo durante la separazione dal suo amato.
Il sole si reco a chiamare la luna, ed insieme bussarono alla stessa porta.
Tessero al mio telaio fili di seta tratti dalla pierre.
Kabir
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2. |
Eon 3m, oq
08:23
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Le miroir
dans le miroir il n’y a pas un bruit
aucun monde n’existerait aussi silencieux que ce monde
dans le miroir je possède aussi des oreilles
deux misérable oreilles pitoyables qui ne comprennent même pas ce que je dis
dans le miroir je suis gaucher
un gaucher qui ne sait pas saisir ma main - ni quelle poignée de main est
à cause du miroir je ne peux pas toucher ce moi qui est au-dedans mais si ce n’était
pas le miroir, comment aurais-je pu me rencontrer ?
je n’ai pas de miroir en ce moment, mais dans le miroir il y a toujours le moi de ce miroir
je n’en suis pas très sur mais il doit être absorbé par une seule et unique affaire
ce moi dans le miroir est vraiment mon contraire mais il me ressemble bien aussi
Je regrette beaucoup de ne pas pouvoir m’inquiéter pour lui ou l’ausculter
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3. |
Puntos de Amor
10:06
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“ Puntos de amor, reunidos en Beas ”, de San Juan de la cruz (n°41)
Las condiciones del pájaro solitario son cinco. La primera, que se va a lo más alto ; la segunda, que no sufre compañía, aunque sea de su naturaleza ; la tercera, que pone el pico al aire ; la cuarta, que no tiene determinado color ; la quinta, que canta suavemente.
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4. |
Drei Hölderlin-Gedichte
09:51
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Abbitte
Heilig Wesen ! gestört hab’ ich die goldene
Götterruhe dir oft, und der geheimeren,
Tiefern Schmerzen des Lebens
Hast du manche gelernt von mir.
O vergiß es, vergib ! gleich dem Gewölke dort
Vor dem friedlichen Mond, geh’ ich dahin, und du
Ruhst und glänzest in deiner
Schöne wieder, du süßes Licht!
Hälfte des Lebens
Mit gelben Birnen hänget
Und voll mit wilden Rosen
Das Land in den See,
Ihr holden Schwäne,
Und trunken von Küssen
Tunkt ihr das Haupt
Ins heilignüchterne Wasser.
An Zimmern
Die Linien des Lebens sind verschieden
Wie Wege sind, und wie der Berge Grenzen.
Was hier wir sind, kann dort ein Gott ergänzen
Mit Harmonien und ewigem Lohn und Frieden.
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5. |
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De tous les déserts du jour je t’appelle
De toutes les vignes de la nuit je t’appelle
Tu es
Tu es le cri perdu où je m’égare invisible et sans voix
Aux lisières du soir nul ne demande plus à l’ombre d’où elle vient ni qui elle est
Ombres des ombres répandues sur le monde
La nuit est une phalène dans la nuit des lampes
Je brûle dit-elle un jour à un camarade je brûle
Je brûle et tu ne vois pas
Tu vois la nuit
Ouvre tes mains j’y noierai mon front
L’ombre et la clarté serait une longue caresse
Je voguerais dans le velours de ta vie
être deux c’est être le jour qui est formé du matin et de la nuit
Jour sur jour nuit sur nuit e
Et je me dis que notre nuit n’est peut-être que l’obscure détresse d’une main qui ne
s’est jamais ouverte
Deux mots comme mamelle jour sur jour nuit sur nuit un filet de jour
Demain l’aurore aura volé ma bouche aura volé mes cuisses aura volé mes seins
Lumière dans la lumière lien dans l’invisible lieu le lieu du lieu
Je brûle dit-elle un jour à un camarade je brûle et tu ne vois pas
J’ai entendu de tes oreilles et depuis je ne cesse de t’entendre
J’ai vu de tes yeux et depuis je ne cesse de te voir
J’ai parlé par ta bouche et depuis je ne cesse de te nommer
Je n’entends pas le cri dit-elle je suis le cri
Les mots ont éventré les mots odeur insoutenable
Je suis plus dure que la durée
Je taille ma demeure dans le désir
J’écris je te rejoins mon amour et déjà je suis l’aile qui me rend mon aimé
D’une main tu as couvert ton visage
La nuit est entrée dans le jour la nuit devient le jour à travers le nom
Lumière dans la lumière
Je vous parlerai de la séparation
Ouvre mon cœur ouvre mon cœur tu y verras le silence sous la forme d’un nuage ou
d’un lac
Ouvre ouvre mon cœur tu parleras pour le silence entre dans ma parole dans mon
obscure demeure d’un côté et de l’autre du silence nous serons la même voix
Telle la ruche notre terre a essaimer essaimer disait-il est-ce aimer ?
A toute vie sa voyelle sa voilure à la mort ses cohésives consonnes
Le vent qui balaie mes cris mes cris qui exaspère le vent
Dormir comme l’oiseau plane être soutenue par les ailes mais ne plus les sentir
Du vent vous dis-je du vent et un peu de sable dans le vent
É ou a i a
J’épouse chaque syllabe au point de n’être plus qu’un corps de consonne une âme
de voyelle
Prête à tes aveux mon visage sculpte moi avec des mots
Je suis belle parce que je suis le verbe qui me magnifie par ta bouche
Je suis pâle parce que ta tristesse s’est allongée sur ma joue
Tu m’écoutes et mes paroles ont trouvé un logis écoute
Le vent disait-elle
Il neige sur la parole il neige pour la parole il neige dans la pale la neige a enseveli
nos cœurs
Mais l’arbre le plus haut se souvient de nos cris
Le mot
La lettre vole le mot qui vole l’image qui vole
Le mot
La lettre ment au mot qui ment à la phrase qui ment à l’auteur qui ment
La lettre rêve le mot qui rêve la phrase qui exauce le mot qui exauce la lettre
La lettre délie le mot qui délie l’image qui délie le jour
La phrase sépare le mot qui pare la lettre qui pare l’absence.
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6. |
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Muwatalli (traduction)
Refrain : Prière de Muwatalli
...C’est le même ciel qui aujourd’hui s’étend là-haut, et la terre qui occupait les basses régions, la même terre les occupe toujours. Le soleil céleste qui résidait alors dans le ciel, le même soleil céleste y réside encore, et il s’y présente comme témoin pour chasser la colère du dieu de l’Orage...
Couplet 1 : Illuyankas
...que le pays soit florissant et prospère ! Que le pays soit bien protégé ! S’il est florissant et prospère, on célèbrera la fête de Puruliyas.
Couplet 2 : La lune qui tomba du ciel
...Le dieu-Lune tomba du ciel. Il tomba sur le Kilammar, mai nul ne le vit. Le dieu de l’Orage envoya la pluie contre lui, il envoya des tornades contre lui de sorte que la peur le saisit et l’épouvante le saisit. Hapandalliyas alla se placer à ses côtés pour s’adresser à lui. Kamrousipas vit ce qui était tombé du ciel, et parla ainsi : «Le dieu-
Lune est tombé du ciel, il est tombé sur le Kilammar». Le dieu de l’orage le vit et il envoya la pluie contre lui, il envoya des tornades contre lui, de sorte que la peur le saisit et l’épouvante le saisit. Hapandaliyas alla prendre place à ses côtés pour s’adresser
à lui : Que vas-tu faire ?
Couplet 3 : Telebinou
...Telibinou se mit en rage. Brume saisit les fenêtres, Fumée saisit la maison. Dans l’âtre des bûches furent étouffées. Dans la bergerie les moutons furent étouffés. A l’étable le bétail fut étouffé. La brebis abandonna son agneau, la vache abandonna son veau. Telibinou s’en alla et emporta le grain, la brise et la fertilité du pays, des prairies
et des steppes. Telibinou s’en fut et se perdit dans la steppe. La fatigue eut raison de lui. Alors le grain et l’épeautre ne poussèrent plus. Alors le bétail, les moutons et les humains n’eurent plus rien à manger. Et même les femelles pleines n’accouchaient plus. La végétation sécha, les arbres séchèrent et ne produisirent plus de rejetons.
Les pâturages séchèrent, les sources tarirent. Dans le pays la famine régna, de sorte que hommes et dieux mouraient de faim. Le grand dieu-Soleil organisa un banquet et invita les mille dieux. Ils mangèrent mais ne furent pas rassasiés ; ils burent mais ne furent pas désaltérés. Le dieu de l’Orage fut pris d’angoisse pour Telebinou son fils : «Telebinou mon fils n’est pas là. Il est entré en rage et a emporté toute bonne chose».
Les grands dieux et les dieux secondaires se mirent à la recherche de Telebinou. Le dieu-Soleil envoya l’aigle rapide, lui disant : «Va ! Fouille chaque haute montagne !
Fouille les profondeurs de l’eau !» L’Aigle s’en fut, mais ne put le trouver. De retour près du dieu-Soleil, il apporta son message : «Je n’ai pu le trouver, lui, Telebinou, le noble dieu». Le dieu de l’Orage dit à Hannahannas : «Qu’allons-nous faire ? Nous allons mourir de faim». Hannahannas dit au dieu de l’Orage : «Fais quelque chose, dieu
de l’Orage, va chercher Telebinou toi-même !»...
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7. |
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8. |
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9. |
Lamento
10:41
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Lamentations de Jérémie (extraits)
Ô vos omnes qui transitis per viam
Attendite et videte si es dolor sicut dolor meus
Quoniam vindeniavit ut locutus est Dominus in die irae furoris sui
De excelso misit ignem in ossibus meis et erudivit me:
expandit rete pedibus meis, convertit me retrorsum;
posuit me desolatam, tota die maerore confectam.
Infirmata est virtus mea
Dedit me Dominus
In manu de qua non potero surgere
Cogitavit dominus dissipare murum filiae Sion tetendit funiculum suum et non avertit
manum suam a perditione luxitque antemurale et murus pariter dissipatus est
Defixae sunt in terra portae ejus, perdidit et contrivit vectes ejus; regem ejus et principes ejus in gentibus: non est lex, et prophetae.
Ejus non invenerunt a Domino
Sederunt in terra, conticuerunt senes filiae Sion:
conserserunt cinere capita sua, filiae Jerusalem
accincti sunt ciliciis, abjecerunt in terram capita sua virgines Juda.
Me minavit et adduxit in tenebris et non in lucem
tantum in me vertit et convertit manum suam tota die
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10. |
Heine zu Seraphine
15:21
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1-
Das ist eine weisse Möwe,
Die ich dort flattern seh
Wohl über (die) dunklen Fluten ;
Der Mond steht hoch in der Höh.
Der Haifisch und der Roche,
Die schnappen hervor aus der See,
Es hebt sich, es senkt sich die Möwe ;
Der Mond steht hoch in der Höh.
O, liebe, flüchtige Seele,
Dir ist so bang und weh !
Zu nah ist dir das Wasser,
Der Mond steht hoch in der Höh.
2-
Wie neubegierig die Möwe
Nach uns herüberblickt,
Weil ich an deine Lippen
So fest mein Ohr gedrückt !
Sie möchte gerne wissen,
Was deinem Mund entquillt,
Ob du mein Ohr mit Küssen
Oder mit Worten gefüllt ?
Wenn ich nur selber wüsste,
Was mir in die Seele zischt !
Die Worte und die Küsse
Sind wunderbar vermischt.
4-
Graue Nacht liegt auf dem Meere,
Und die kleinen Sterne glimmen.
Manchmal tönen in dem Wasser
Lange hingezogne Stimmen.
Dorten spielt der alte Nordwind
Mit den blanken Meereswellen,
Die wie Orgelpfeifen hüpfen,
Die wie Orgelpfeifen schwellen.
Heidnisch halb und halb auch kirchlich
Klingen diese Melodeien,
(Steigen mutig in die Höhe,)
Dass sich drob die Sterne freuen.
Und die Sterne, immer grösser,
Glühen auf mit Lustgewimmel,
Und am Ende gross wie Sonnen
Schweifen sie umher am Himmel.
Zur Musik, die unten tönet,
Wirbeln sie die tollsten Weisen ;
Sonnennachtigallen sind es,
Die sort oben strahlend kreisen.
Und das braust und schmettert mächtig,
Meer und Himmel hör ich singen,
Und ich fühle Riesenwollust
Stürmisch in mein Herze dringen.
5-
Schattenküsse, Schattenliebe,
Schattenleben, wunderbar !
Glaubst du, Närrin, alles bliebe
Unverändert, ewig wahr ?
Was wir lieblich fest besessen,
Schwindet hin, wie Träumerein,
Und die Herzen, die vergessen,
Und die Augen schlafen ein.
6-
Mit scharzen Segeln segelt mein Schiff
Wohl über das wilde Meer ;
Du weisst, wie sehr ich traurig bin,
Und kränkst mich doch so schwer.
Dein Herz ist treulos, wie der Wind
Und flattert hin und her ;
Mit schwarzen Segeln segelt mein Schiff
Wohl über das wilde Meer.
7-
Es rag ins Meer der Runenstein,
Da sitz ich mit meinen Träumen.
Es pfeift der Wind, die Möwen schrein,
Die Wellen, die wandern und schäumen.
Ich habe geliebet manch schönes Kind,
Und manchen guten Geselen –
Wo sind sie hin ? Es pfeift der Wind,
Es schäumen und wandern die Wellen.
8-
Das Meer erstrahlt im Sonnenschein,
Als ob es golden wär.
Ihr Brüder, wenn ich sterbe,
Versenkt mich in das Meer.
Hab immer das Meer so lieb gehabt,
Es hat mit sanfter Flut
So oft mein Herz gekühlet ;
Wir waren einander gut.
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11. |
l-Li-Ko - Chapitre I
05:47
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Chapitre I
Ton livre moi pourquoi veux-tu que je l’aie pris.
Le livre de Pierre. Ce livre est à Pierre.
J’ai lu ce livre hier seulement : ce ne sont que des paroles (= ce sont des paroles seulement et rien autre chose).
Il ne fait que parler (= il parle seulement) et ne fait pas autre chose ; il parle sans cesse.
Il ne fait que parler (= il parle seulement et ne fait pas autre chose ; il parle sans cesse).
Que voulez-vous ? Que voulez-vous ? Silence. C’est ce livre que j’ai lu. Silence. Encore un instant et j’ai fini. Un instant et j’ai fini. Bien - Bon ! Allons ! Voyons ! Par exemple-C’est trop fort ! C’est trop fort ! Que voulez-vous ?
Tu ris tandis que je pleure coupable
je partais signifie
J’étais sur le point de partir disposé à partir j’allais partir
mets-y du tien il y met du sien Vas-y Ah ! il n’est que de s’entendre
C’est-à-dire : il suffit de s’entendre. Le mieux est de s’entendre hip ! hip! hurrah ! ho ! hola ! bis ! Ah ! Nous écrions nous. Ah !
Ah ! Il parle si bas Qu’on ne l’entend pas. Qu’on ne l’entend pas. Bien - Bon ! Allons !Encore
un instant et j’ai fini calamité et catastrophe amère douleur amère, douleur, calamité et catastrophe.
Il fut sur le point de perdre la vie hélas hélas cet accident ne doit pas être rare.
Non sapeva dove si fosse Non sai quel che ti dici Non sapeva piu quel che si fare il guaio si eche non abbiamo piu nulla se ne stava va li solo.
Si je péris si je meurs il se repent de sa faute je m’aperçois de mon erreur je souffre je meurs je m’aperçois de mon erreur je me repens je m’évanouis je m’évade je m’aperçois de mon erreur il meurt et il se meurt il parle si bas qu’on ne l’entend pas j’ai fini j’ai fini je parle tu parles bon ami bon (z) amis bon (z) amis seu(l)ment ce ne sont que des paroles arrière ! Tu ris tandis que je pleure arrière on abuse de la confiance de quelqu’un
Tu ris et je pleure Tu ris et je pleure Tu ris je pleure. Non ! m’a-t-il répondu je n’agirais pas
ainsi je ne connais pas cette personne je ne l’ai jamais vu
viennent les mauvais jours on reconnaît les vrais amis je serais aimé je désirerais est-ce que je chante Vas-y Vas-y
E inutile inutile E inutile rimpiangere un passato che non puo tornare
Ah ! bravo bravo
C’est le soir que la fièvre est la plus forte la fièvre est plus forte le soir que le matin hélas !
Je suis éloigné de vous je penserai à vous pourquoi pleurer où allez que faire moi. Vous abandonner ! Le mal va en augmentant Le mal va en augmentant la fièvre hélas ! C’est le soir hélas ! Que la fièvre est la plus forte Il fut sur le point de perdre la vie Ah ! Ah ! Nous écrions nous (vers toi seul) s’élèvent mes yeux meurs mourons j’aurai donc travaillé en vain ! j’ai travaillé et il s’y mêle du regret
Oui hélas ! vos conseils ont été très puissants sur mon coeur.
Caminava come uno non ci vedesse quel dir cio a lui fu un errore il pensare a cio non giova a nulla al partire io sono contento ma tu sei triste addio
adieu.
Fin du chapitre I
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12. |
l-Li-Ko - Chapitre II
04:11
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Chapitre II
Birds of a feather flock together.Qui se ressemble s’assemble. `
le soleil brille
J’ai été ravi de ce que vous m’avez montré. c’est beau c’est beau
Si j’avais su ! À jamais, pour jamais dorénavant et désormais.
il est inutile de regretter un passé qui ne peut revenir.
(Elle disparaît derrière les arbres)
Cette forêt est belle ; j’en connais tous les sentiers
des fleurs des fleurs de toute sorte
Cette forêt est belle ; j’en connais tous les sentiers
(dorénavant et désormais, à jamais pour jamais)
Ecoute-moi. Ne l’écoute pas. Nous vous écoutons vous.
Obéis-moi. Ne m’obéis pas il lui obéit le fera-t-il ?
Il dit que non c’est-à-dire qu’il ne le fera pas. Il en est ainsi surtout dans les réponses :
Irez-vous ? Non (c’est-à-dire je n’irai pas)
H-o-o-o ! sentiment violent : douleur
H-o-o-o ! torrents de larmes de ruisseaux de sang
Nobody no-bo nobody bo-dy saw you you you saw you did did they did they
we shall shall have to to wait to wait to wait
He might He might help us
Oh Oh yes oh oh yes he might he might but he wont but he wont a door die attitude.
SONG
H-o-o-o-o !
H’Opirit rira risha ; H’Opirit rira risha ; H’Opirit rira risha ; H’Opirit rira risha.
le ciel s’obscurcit tout à coup. Tous. Bravo ! bravo !
Cette douleur est moins forte que je ne l’aurais cru (L’équivaut à qu’elle était forte)
il y a des truites dans ce torrent. Il ya des truites dans ce torrent ? H-o-o-o !
Il y a des truites.
Rira Risha Rira Risha Rira Risha Rira Risha
A qui pensez-vous c’est à vous que je parle c’est de vous qu’il s’agit
J’aime cette forêt j’en connais tous ses détours.
Si vous fûtes vaillant, je le suis aujourd’hui. (Corneille)
Non Non Non je n’irais pas
Je vous préviens C’est d’eux que tu descends, c’est de moi que tu viens (Corneille)
H-o-o-o ! Ce que vous dites me surprend. Si j’avais su !
Qu’il sorte sur le champ .
Que Dieu vous garde
Qu’il parte donc je fermerai les yeux
Qu’il fasse le moindre excès il est malade
Que je le revois jamais Que je le revois jamais
Vous êtes ce qu’autrefois je fus sur ce il se leva et sortit
il est parti sans faire aucun bruit (sans qu’il ait fait aucun bruit...)
Fin du chapitre II
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13. |
Il-Li-Ko - Chapitre III
05:28
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Chapitre III
Furor
Je suis très surpris, étonné de vous rencontrer.
Je ne m’attendais pas à vous rencontrer. Quelle surprise de vous voir ici !
Quelle surprise ! Vous, ici ! Comment, c’est vous !
Vous ! Ah ! par exemple, si je m’attendais à vous trouver ici !
Le diable m’emporte si je pensais vous voir ici ! Parbleu ! Morbleu !
Je lui écris : Viens au plus tôt
Il nous a dit que nous étions sauvés.
Je suis très surpris, étonné Je ne m’attendais pas
Il nous a dit : Vous êtes sauvés
Ah ! Par exemple, si je m’attendais
Quelle surprise !
c’est beau c’est beau c’est beau
il se cache, je vous préviens de peur que vous ne soyez surpris
Ne confondez pas
Je vous préviens de peur que vous ne soyez surpris
Il reçut une blessure à la tête et en mourut
accident, malheur
désastre, calamité, catastrophe
calamité, catastrophe
E inutile rimpiangere un passato che non puo tornare hélas !
H-o-o-o ! hélas ! Ho-o-o-o !
Je suis éloigné de vous
Je penserai à vous
Pourquoi pleurer ?
Ou aller ? - Que faire ? - Moi,
vous abandonner !
Vivre une vie misérable ; vivre sa vie ; pleurer des larmes de sang.
Je suis sans nouvelles des miens.
Les tiens, les siens, les nôtres, les vôtres,
à jamais, pour jamais dorénavant et désormais.
si j’avais su ! si j’avais su. Il nous a dit : vous êtes sauvés il m’a annoncé qu’il reviendrait
Pierre m’a dit : je viendrai ce soir.
Pierre m’a dit qu’il viendrait ce soir.
Je lui écris de venir ou qu’il vienne au plus tôt
Je crains que Pierre ne vienne et je crains que Pierre ne vienne pas
Il peut, dans ce désordre extrême,
Epouser ce qu’il hait et perdre ce qu’il aime. (Racine)
H-o-o-o ! Ah ! Je vous défends d’entrer
Je ne veux pas que l’on entre ici.N’entrez pas. Vous n’entrerez pas. On entre pas.
Vous et moi nous partirons. Vous valez mieux que moi vous valez mieux que moi
vos beaux yeux mourir vos beaux yeux vos beaux yeux
Vos yeux Vos yeux la nuit vient la nuit vient
Vos yeux beaux d’amour mourir vos beaux yeux
mourir d’amour me font la nuit vient la nuit vient
Nous voilà arrivés au but voilà que la nuit vient
sans que nous nous en apercevions la nuit vient
Regardez-y de près
Nous voilà arrivés au but courage ! bravo ! courage ! bravo ! Que faire ?
c’est le silence, c’est la nuit
Le mal va en augmentant. Tu disais : J’aurai vite fini.Regardez les choses de près
J’aime cette forêt
J’ai couru tout le jour
Les oiseaux chantaient dans la forêt très, fort, énormément,
extrêmement, excessivement, etc.
ce que vous êtes, ce qu’autrefois je fus
Vous êtes aujourd’hui ce qu’autrefois je fus
Tu ris tandis que je pleure
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